Recherche d’information sur la COVID longue – Chris

 

Chris estime qu’effectuer des recherches à l’avance permet d’obtenir des rendez-vous médicaux plus productifs.

Transcription

I’ve been trying to strike a balance between finding enough information to feel like I’m able to go to appointments with specialists that don’t really understand a lot about long COVID or related conditions yet but are obviously experts in their field. So I want to be able to bring logical, reputable information to them and sort of try to get them to wade through it … Once I was comfortable enough saying, “I have long COVID” or, “I have POTS,” I think it changed the nature of my discussions with a lot of both specialists, and when I went to the emergency room, because I have been three times in the last six months because it – I’m coming at them with a little bit less of a random array of symptoms that could easily be, you know, a panic attack or something else. I’m sort of giving them a starting point, you know. “My cardiologist and physiotherapist have said I have POTS. I have been accepted to a long COVID rehab program. So I have these things and they affect me in this way. And now today I’m having this particularly bad flare that I can’t control,” for example and it’s made for more productive discussions with medical professionals, I think.

[J’ai essayé de trouver un équilibre entre la recherche d’informations suffisantes pour me sentir capable d’aller à des rendez-vous avec des spécialistes qui ne comprennent pas encore grand-chose à la COVID longue ou aux maladies apparentées, mais qui sont manifestement des experts dans leur domaine. Je veux donc être en mesure de leur apporter des informations logiques et fiables et d’essayer de les aider à s’y retrouver. Une fois que je me suis senti suffisamment à l’aise pour dire « je souffre de COVID longue » ou « je souffre du STOP », je pense que cela a changé la nature de mes discussions avec beaucoup de spécialistes. Et lorsque je suis allé aux urgences, parce que j’y suis allé trois fois au cours des six derniers mois, je me présente à eux avec un peu moins de symptômes aléatoires qui pourraient facilement être, vous savez, une crise de panique ou autre chose. Je leur donne en quelque sorte un point de départ. Par exemple, « Mon cardiologue et ma physiothérapeute m’ont dit que j’avais un STOP. J’ai été accepté dans un programme de réadaptation pour la COVID longue. J’ai donc ces problèmes et ils m’affectent de cette manière. Et aujourd’hui, j’ai cette poussée particulièrement grave que je ne peux pas contrôler », et je pense que cela a permis d’avoir des discussions plus productives avec les professionnel·les de la santé.] Traduction de l’original anglais.


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